• Voyager librement, c'est voyager en se laissant surprendre par ce qu'il y a de différent autour de soi.
    Un sacré gueuleton, éd. Flammarion
  • Les grands voyages ont ceci de merveilleux que leur enchantement commence avant le départ même. On ouvre les atlas, on rêve sur les cartes. On répète les noms magnifiques des villes inconnues...
  • Il y a aussi en tout voyageur un homme traqué, découvrant soudain sa solitude, son impuissance à entrer dans la comédie ou la tragédie qui se jouent autour de lui.
    Je me suis beaucoup promené
  • Tout voyage doit commencer par une évasion de l'esprit.
    L'année des D(i)ieux, éd. Lamiroy
  • De même que le voyageur qui s'est éloigné une fois de chez lui est plus sage que celui qui n'a jamais quitté le seuil de sa propre porte, la connaissance d'une autre culture devrait aiguiser notre capacité à examiner plus attentivement, à apprécier avec plus d'amour, la nôtre.
    Coming of Age in Samoa (1928)
  • Je n'ai pas encore été partout, mais c'est sur ma liste.
  • Partir, prendre la route, c'est vivre à fond. C'est se fondre dans le paysage. C'est traverser les apparences et s'habituer aux différences.
  • Ce qu'il peut être enivrant de se sentir étranger au monde. On a toujours l'impression d'être en voyage.
    Les plaisirs de la mélancolie, éd. du Boréal
  • Un vrai voyageur est celui qui ne sait pas où il va, et un voyageur accompli ne sait pas d'où il vient.
    L'importance de vivre
  • L'Antarctique a cette force d'attraction des choses inaccessibles qui appellent l'Homme à s'engager avec passion.
  • En espadrilles, on est tout juste assez civilisé pour tutoyer le globe, sans l'appréhension rétive du pied nu méfiant, sans l'excessive assurance du pied trop bien chaussé.
    La Première Gorgée de bière et autres plaisirs minuscules, éd. Gallimard
  • Il ne faut jamais finir un voyage, seulement l'interrompre.
  • Le danger du voyage est dans la boulimie, la soif du connaître. Il faut laisser le voyage à l'étonnement...
    Les dames de nage, ed Métailié
  • Le monde est un beau livre, mais de peu d'utilité pour celui qui ne peut pas le lire.
    Pamela (vers 1750)
  • Celui qui ne quitte jamais son pays est plein de préjugés.
    Pamela (vers 1750)