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La vie est un procès judiciaire : peu importe qui on est et ce qu'on fait, on perd toujours.
La vie est un procès judiciaire : peu importe qui on est et ce qu'on fait, on perd toujours.
La vie n'est pas ce que l'on a vécue, mais ce dont on se souvient et comment on s'en souvient pour le raconter.
Tout homme a trois vies. L'une publique, l'autre privée et la troisième secrète.
Exister est un fait, vivre est un art. Tout le chemin de la vie c'est de passer de la peur à l'amour.
Ne pas voir que le malheur, ne pas concentrer toute notre attention sur la douleur présente, orienter notre esprit sur ce qui nous réconforte et considérer la vie comme un tout indivisible - avec ses peines et ses joies - tout cela peut nous permettre de continuer à l'aimer, même dans l'épreuve.Juste après la fin du monde, Nil éditions
Donner une signification à sa vie, c'est trouver des raisons de vivre. C'est tenter de répondre, même provisoirement, à la question : pourquoi ai-je envie de continuer à vivre ?Vivre ! Dans un monde imprévisible, éd. Fayard
Si la vie était un match de foot, je jouerais plutôt la défense que l'attaque. Disons que je suis un arrière qui ne déteste pas marquer des buts. Et quelquefois contre son camp.Pointes, piques et répliques, éd. Le Cherche-Midi
La vie de la plupart des hommes est une poursuite de quelque chose. C'est-à-dire que la seule alternative de la vie c'est l'immobilité, qui est la mort.
La seule alternative dans la vie, c'est de progresser ou de mourir.
La vie trouve toujours sa voie comme un fleuve détourné de son lit en creuse toujours un autre.
Seule une bonne et belle vie, bien remplie, bien pleine, pas ratée, permet d'aborder sereinement la mort.Contre-histoire de la philosophie II. Le christianisme hédoniste, éd. Grasset
Une vie réussie est celle qu'on a envie de revivre.
L'être humain ne cherche pas avant tout le plaisir, ni la souffrance, mais plutôt une raison de vivre [...] Voilà pourquoi l'homme est prêt à souffrir s'il le faut, mais à la condition que sa souffrance ait un sens.Découvrir un sens à sa vie, Les Editions de L'Homme
L'important n'était pas ce que nous attendions de la vie, mais ce que la vie attendais de nous. Au lieu de se demander si la vie avait un sens, il fallait s'imaginer que c'était la vie qui nous questionnait.
L'important n'est pas ce que nous attendons de la vie, mais ce que la vie attend de nous.