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La fin est dans le commencement et cependant on continue.
La fin est dans le commencement et cependant on continue.
Il y a des êtres mystérieux, toujours les mêmes, qui se tiennent en sentinelles à chaque carrefour de notre vie.Ville triste, éd. Gallimard
Dans cette vie qui vous apparaît quelquefois comme un grand terrain vague sans poteau indicateur, au milieu de toutes les lignes de fuite et les horizons perdus, on aimerait trouver des points de repère, dresser une sorte de cadastre pour n'avoir plus l'impression de naviguer au hasard. Alors, on tisse des liens, on essaye de rendre plus stables des rencontres hasardeuses.Dans le café de la jeunesse perdue, éd. Gallimard
La vie serait bien monotone si l'on avait toujours l'esprit de sérieux.Quartier perdu, éd. Gallimard
La vie est un jeu plein d'incertitudes. La mort aussi, totalement imprévisible et donc encore plus ludique.Tout sur le jeu. Les joueurs, les jeux, les casinos, éd. Flammarion
Chaque jour à vivre est une victoire. Chaque jour vécu, une défaite.
La vie est un écho, ce que tu lui envoie, te reviens ; ce que tu sèmes, tu le récoltes ; ce que tu donnes, tu l'obtiens et ce que tu vois dans les autres existe en toi.
La vie n'est qu'un rêve, et si nous sommes des artistes, alors nous pouvons créer notre vie avec amour.
Je crois que le rire est la meilleure façon de brûler des calories. Je crois aux baisers, beaucoup de baisers. Je crois qu'il faut être fort quand tout semble aller mal. Je crois que demain est un autre jour et je crois aux miracles.
Croyez-vous qu'un seul bébé accepterait de naître si on lui exposait ce qui l'attend ?
À la question : comment vivre selon Dieu, qui fut durant plus d'un millénaire celle de l'humanité occidentale, s'en substitue peu à peu une autre qui retrouve les préoccupations des Anciens : comment vivre tout court ?L'Euphorie perpétuelle : Essai sur le devoir de bonheur, éd. Grasset
Et le contraste est saisissant entre la morosité de notre vie et l'allure trépidante des images et des médias : le train rapide du monde accentue le train-train de mon existence. Tout bruit d'exploits et de drames et ma vie est si plate. C'est un étrange paradoxe qui veut que la banalité vienne à nous sous les traits du désordre et que l'asthénie s'impose sous le masque de la vitesse et du tourbillon.L'Euphorie perpétuelle : Essai sur le devoir de bonheur, éd. Grasset
L'enfer de nos contemporains s'appelle la platitude. Le paradis qu'ils recherchent la plénitude. Il y a ceux qui ont vécu et ceux qui ont duré.L'Euphorie perpétuelle : Essai sur le devoir de bonheur, éd. Grasset
Si toute vie va inévitablement vers sa fin, nous devons durant la nôtre, la colorier avec nos couleurs d'amour et d'espoir.
Il faut regarder la vie en farce.Mes inscriptions