• Notre Père qui êtes aux cieux
    Restez-y
    Et nous nous resterons sur la terre
    Qui est quelque fois si jolie.
    Paroles
  • Si l'organe Terre ne va pas bien, se blesse ou est maltraité, c'est tout l'organisme cosmos qui est atteint !
    Une vie à se dire, Ed. Pocket
  • Vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n'est à personne.
    Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes
  • Il est du devoir de notre génération, de notre époque, de confier à ceux qui nous succéderont les richesses et les beautés naturelles qui sont nôtres, comme nous les ont confiées ceux qui nous ont précédés.
  • La Terre ne peut pas finir si un seul homme vit encore. Ayez pitié de la Terre fatiguée, qui sans l'amour n'aurait plus de raison d'être.
  • La terre est ma patrie et l'humanité, ma famille.
  • Pour que les arbres et les plantes s'épanouissent, pour que les animaux qui s'en nourrissent prospèrent, pour que les hommes vivent, il faut que la terre soit honorée.
    Vers la sobriété heureuse
  • Tout ce que nous faisons à la terre de bien ou de mal, c'est par conséquent à nous que nous le faisons. Il est vain de vouloir la santé et l'épanouissement de l'être humain sans guérir et entretenir ce qui lui transmet les substances, les forces et les énergies qui lui sont indispensables.
    Conscience et environnement, Les Éditions du Relié
  • Il est grand temps de reconnaître à la Nature le magistère absolu d'être la garante de toute vie et de notre survie. Oublier ce caractère irrévocable condamne nos efforts à n'avoir aucun lendemain...
    Conscience et environnement, Les Éditions du Relié
  • Avec l'ère de la technoscience, de la productivité et de la marchandisation sans limite, l'on ne voit plus dans la terre et les végétaux qu'une source de profit financier. Ce pillage du bien commun de l'humanité est représentatif d'une civilisation qui a donné à la matière, au lucre et à l'avidité humaine les pleins pouvoirs sur le Vivant et les vivants que nous sommes.
    Conscience et environnement, Les Éditions du Relié
  • [...] la terre n'appartient pas à l'homme; l'homme appartient à la terre.
    Extrait d'un discours lors de négociations pour la vente de territoires indiens (1854)
  • Enseignez à vos enfants ce que nous avons enseigné aux nôtres, que la terre est notre mère. Tout ce qui arrive à la terre, arrive aux fils de la terre. Si les hommes crachent sur le sol, ils crachent sur eux-mêmes.
    Extrait d'un discours lors de négociations pour la vente de territoires indiens (1854)
  • Nous sommes une partie de la terre, et elle fait partie de nous. Les fleurs parfumées sont nos sœurs ; le cerf, le cheval, le grand aigle, ce sont nos frères. Les crêtes rocheuses, les sucs dans les prés, la chaleur du poney, et l'homme, tous appartiennent à la même famille.
    Extrait d'un discours lors de négociations pour la vente de territoires indiens (1854)
  • Si nous vous vendons de la terre, vous devez vous souvenir qu'elle est sacrée, et vous devrez rappeler à vos enfants qu'elle est sacrée, et leur apprendre que chaque reflet spectral de l'eau claire des lacs raconte des événements et les phases de la vie de mon peuple. Le murmure de l'eau est la voix du père de mon père. Les fleuves sont nos frères, ils étanchent notre soif. Les fleuves portent nos canoës et nourrissent nos enfants. Si nous vous vendons notre terre, vous devez désormais vous rappeler, et l'enseigner à vos enfants, que les fleuves sont nos frères et les vôtres, et vous devez désormais montrer pour les fleuves la tendresse que vous montreriez pour un frère.
    Extrait d'un discours lors de négociations pour la vente de territoires indiens (1854)
  • Si l'humanité veut avoir un avenir à long terme, il faut que son horizon dépasse celui de la planète Terre. Il n'est pas possible que nous continuions à nous regarder le nombril et à miser sur une planète surpeuplée et de plus en plus polluée. Cela va nous prendre du temps et des efforts, mais cela deviendra de plus en plus facile avec les avancées technologiques.
    Sciences et Avenir - nº 729, novembre 2007