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Je souscris totalement au principe selon lequel la qualité de l'existence n'est jamais mieux définie que par celles et ceux qui la vivent. Je comprends donc qu'éprouvant le sentiment que leur existence est une vallée de larmes, une montagne de douleurs, une accumulation et une répétition d'insupportables souffrances physiques et/ou morales, des personnes décident d'y mettre fin. Comment vivre avec l'indicible ? Pour autant, cela n'est pas un authentique acte de liberté. La liberté, c'est faire un choix entre plusieurs voies ouvertes ; emprunter la seule voie possible n'est par conséquent pas la liberté, c'est céder à une contrainte, faire ce que les circonstances imposent. J'affirme donc haut, clair et fort que l'ultime liberté remarquable n'en est jamais une.