• Pour que les choses deviennent possibles il faut d'abord les rêver.
  • Bien des choses dépendent de ce que les gens rêvent dans leur cœur.
    L'Empereur-Dieu de Dune, éd. Robert Laffont
  • Ça ne fait pas grand bien de s'installer dans les rêves en oubliant de vivre.
    Harry Potter à l'école des sorciers, éd. Folio
  • Rêver ne signifie pas avoir des rêves. Rêver permet de percevoir d'autres mondes et de les décrire.
  • Après une bonne nuit agitée, dès mon réveil, je me mets à rêver.
    Le hasard arrive toujours à l'improviste, éd. Cactus inébranlable
  • J'habite la demeure du possible. Elle a plus de portes et de fenêtres que la demeure de la raison.
  • En l'absence d'une mythologie générale efficace, chacun d'entre nous possède son panthéon privé, méconnu, rudimentaire, mais secrètement puissant, de rêves.
    The Hero with a Thousand Faces
  • Le rêve est un mythe personnalisé, le mythe est un rêve dépersonnalisé ; le mythe et le rêve sont tous deux symboliques de la même manière générale de la dynamique de la psyché. Mais dans le rêve, les formes sont déformées par les problèmes particuliers du rêveur, alors que dans le mythe, le problème et les solutions présentées sont directement valables pour toute l'humanité.
    The Hero with a Thousand Faces
  • On ne m'ôtera pas l'idée qu'il faut avoir un petit coin de sa tête accroché dans les étoiles.
    D'après une histoire vraie, éd. JC Lattès
  • Le degré de liberté d'un homme se mesure à l'intensité de ses rêves.
    Aforismi e magie, éd. Rizzoli
  • C'est parce que nous avons ignoré les écueils que nous avons pu les réaliser, ces rêves les plus fous.
  • Les marges de nos vies sont trop étroites pour contenir la somme de nos rêves et le miroir de nos intuitions.
  • Ceux qui rêvassent sont dangereux, car ils ne réalisent pas quand les rêves se terminent.
  • On ne se retourne pas quand on marche sur la corde du rêve.
    Le Ventre de l'Atlantique, éd. Anne Carrière
  • Réaliser dans l'âge d'homme les rêves de la jeunesse, c'est ainsi qu'un poète a défini le bonheur.
    Stendhal et le Beylisme, éd. Albin Michel