• Ceux qui ont eu dès l'enfance la possibilité de réagir consciemment ou inconsciemment de façon adéquat aux souffrances, aux vexations et aux échecs qui leur étaient infligés, c'est-à-dire d'y réagir par la colère, conservent dans leur maturité cette aptitude à réagir de façon adéquate. Adultes, ils perçoivent très bien et savent exprimer le mal qu'on leur fait. Mais ils n'éprouvent pas pour autant le besoin de sauter à la gorge des autres.
  • Personne ne prétend que la résilience est une recette de bonheur. C'est une stratégie de lutte contre le malheur qui permet d'arracher du plaisir à vivre, malgré le murmure des fantômes au fond de sa mémoire.
  • La résilience n'est pas un catalogue de qualités que posséderait un individu. C'est un processus qui, de la naissance à la mort, nous tricote sans cesse avec notre entourage.
    Les Vilains petits canards
  • L'homme n'est pas le produit de son passé, il est le produit de sa capacité à se remettre de son passé.
  • Soyez à vous-même votre propre refuge. Soyez à vous-même votre propre lumière.
  • Quand un monde de déceptions et d'ennuis s'abat sur vous, si l'on ne s'abandonne pas au désespoir, on se tourne soit vers la philosophie soit vers l'humour.
  • Nous portons tous des cicatrices de nos blessures de vie. Nous pouvons choisir de les considérer comme paralysantes en s'apitoyant sur les raisons qui les ont causées. ou décider de les honorer, car elles disent aussi que nous avons survécu et que cela nous a peut-être rendu plus forts ou plus lucide. Les épreuves, lorsque nous les surmontons, nous font toujours grandir.
    Une vie à se dire, Ed. Pocket
  • Apprends à écrire tes blessures dans le sable et à graver tes joies dans la pierre.
  • Personne ne peut revenir en arrière, mais tout le monde peut aller de l'avant. Et demain, quand le soleil se lèvera, il suffira de se répéter : « je vais regarder cette journée comme si c'était la première de ma vie ».
  • Nous sommes libérés par ce que nous acceptons, mais nous sommes prisonniers de ce que nous refusons.
  • Nous sommes libérés par ce que nous acceptons, mais nous sommes prisonniers de ce que nous refusons.
  • Je suis comme la forêt qu'on a plusieurs fois abattue : les jeunes pousses sont de plus en plus fortes et vivaces.
  • Ce qui ne peut être évité, il le faut embrasser.
  • Accepter que nous ne guérirons peut-être jamais de nos carences ni de nos plaies, assumer que les coups du passé peuvent hanter une âme pour nous ouvrir aux dons du jour et, pourquoi pas, les partager.
  • Comme les alliages de métaux qui reprennent leur forme après un choc, la vie possède elle aussi cette mémoire de carrossage qui lui permet, en peu de temps, de débosseler les impacts les plus violents.
    Si ce livre pouvait me rapprocher de toi, éd. de l'Olivier