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Dieu a inventé le parisien pour que les étrangers ne puissent rien comprendre aux français.
Dieu a inventé le parisien pour que les étrangers ne puissent rien comprendre aux français.
Ne disons pas de mal des gens de la province. Sans eux, nous ne pourrions pas habiter Paris.
Le vrai parisien n'aime pas Paris, mais il ne peut vivre ailleurs.
Paris, la seule ville au monde où coule un fleuve encadré par deux rangées de livres.
Paris, ville d'amusements, de plaisirs, et où les quatre cinquièmes des habitants meurent de chagrin !Maximes et Pensées
Paris, ville de pierre, peuple de monuments, peuple de mémoire, peuple d'anciennes actions. Paris, capitale du monde, ville capitale.Notre patrie
C'est à Paris que se voient les plus attachantes figures de beauté finissante, des femmes de quarante ans, qui ont conservé leur nez fin, leurs yeux de jeune fille, et qui se laissent regarder avec plaisir.Claudine en ménage, éd. Mercure de France
Découvrir tout ce monde nouveau d'écrivains, et avoir le temps pour lire, dans une ville comme Paris où l'on pouvait bien vivre et bien travailler, même si l'on était pauvre, c'était comme si l'on vous avait fait don d'un trésor.Paris est une fête, éd. Gallimard
Il n'y a que deux endroits au monde où l'on puisse vivre heureux : chez soi et à Paris.
Paris est une solitude peuplée ; une ville de province est un désert sans solitude. Le plaisir de Paris est fait d'un isolement, d'une obscurité dont nous sommes assurés de pouvoir sortir s'il nous plaît, et où nous rentrons à la moindre lassitude.La Province, éd. Hachette
Paris détruit les types que la Province accuse. La Province cultive les différences : nul n'y songe à rougir de ses accents, de ses manies. Paris nous impose un uniforme ; il nous met, comme ses maisons, à l'alignement ; il estompe les caractères, nous réduit tous à un type commun.La Province, éd. Hachette
La rue à Paris l'emporte sur tous les musées.Un adolescent d'autrefois
Londres est une énigme. Paris est une réponse.
Les gens s'étonnent toujours que vous ne quittiez pas Paris l'été, sans comprendre que c'est précisément parce qu'ils le quittent que vous y restez.
Paris est un véritable océan. Jetez-y la sonde, vous n'en connaîtrez jamais la profondeur. Parcourez-le, décrivez-le. Quelque soin que vous mettiez à le parcourir, à le décrire, quelque nombreux et intéressés que soient les explorateurs de cette mer, il s'y rencontrera toujours un lieu vierge, un antre inconnu, des fleurs, des perles, des monstres, quelque chose d'inouï, oublié par les plongeurs littéraires.Le Père Goriot