• Où finit la paresse, où commence la contemplation ?
    Doucin, éd. Gallimard
  • "Fainéhantise" : peur obsédante de la paresse.
  • Ma maîtresse, c'est la paresse.
    Mes inscriptions
  • Je choisis une personne paresseuse pour un travail difficile, car une personne paresseuse va trouver un moyen facile de le faire.
  • La paresse est sans doute la plus difficile, la plus fatigante façon d'être qui soit.
    Papiers collés I, éd. L'Imaginaire/Gallimard
  • Seule la paresse fatigue le cerveau.
    L'Apprentissage de la sérénité, éd. Retz
  • La saine fainéantise est un art dont l'ordre et la discipline sont la palette et le pinceau.
    Mots de tête, éd. Laetoli
  • Le manque de temps est le déguisement favori de la paresse.
    Les Euphorismes de Grégoire
  • La paresse sert à préparer l'action.
    L'année des D(i)ieux, éd. Lamiroy
  • Je ne peux pas rester sans rien faire. Je vais faire la sieste.
    Les pensées
  • Il est impossible d'apprécier la paresse, sauf si on a beaucoup de travail.
    Trois hommes dans un bateau
  • Il n'y a pas de miracle. La chance, c'est l'outil dont rêvent les paresseux.
    Le Baron écarlate
  • Le vrai paresseux serait peut-être celui qui aurait besoin d'un autre pour dormir à sa place.
    Vivre en survivant, éd. Tchou
  • Quand la paresse ne nourrira plus que le désir de se satisfaire, nous entrerons dans une civilisation où l'homme n'est plus le produit d'un travail qui produit l'inhumain.
    La Paresse, éd. du Centre Pompidou
  • Quand il s'agit de ne rien faire, la première idée, n'est-elle pas que la chose va de soi ? Hélas, dans une société où nous sommes sans relâche arrachés à nous-mêmes, comment aller vers soi sans encombre ? Comment s'installer sans effort en cet état de grâce où ne règne plus que la nonchalance du désir.
    La Paresse, éd. du Centre Pompidou

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