• Il ne faut pas cracher sur les jeux de mots. Les plus mauvais vont aux meilleurs amis. C'est l'ineffable prix de l'intimité.
    Messieurs les enfants, éd. Gallimard
  • Ne prononcez que des mots dont vous n'aurez pas honte plus tard, que vous ne regretterez pas. Il est facile, bien trop facile, de décourager, de critiquer, de protester, de réprimander. pourquoi ne pas plutôt essayer de voir ne serait-ce que le petit peu de bien qu'il y a en chacun, de se concentrer dessus ? De louer plutôt que de rabaisser ? De remercier plutôt que de se plaindre ? Merci et s'il vous plaît ne sont que de petits mots, mais tellement puissants.
  • La bataille des mots est essentielle en politique car c'est avec, par des mots qu'on conquiert des territoires idéologiques.
  • Le mot bavarde. Le mot est littéraire. Le mot est une fuite. Le mot empêche le silence de parler.
  • Les racines des mots sont-elles carrées ?
    La leçon
  • Le vrai silence est au bout des mots. Mais les mots justes ne naissent qu'au sein du silence.
  • La terre est peuplée de truqueurs et de bavards, qui se servent des mots comme d'une monnaie qu'ils sauraient fausse.
    La Robe mauve de Valentine, éd. Dacres
  • La pire des choses que l'on puisse faire avec les mots est de s'abandonner à eux.
  • Les mots n'ont pas plus de rapport avec la réalité que les pièces d'un jeu d'échec avec des individus réels
    New Words (1940)
  • En France particulièrement, les mots ont plus d'empire que les idées.
  • Dans vos phrases, n'utilisez qu'un sujet, un verbe, un complément direct ; quand vous aurez besoin d'un adjectif, venez me trouver.
  • Le mot ne manque jamais quand on possède l'idée.
  • La parole éblouit et trompe, parce qu'elle est mimée par le visage, parce qu'on la voit sortir des lèvres, et que les lèvres plaisent et que les yeux séduisent. Mais les mots noirs sur le papier blanc, c'est l'âme toute nue.
    Notre cœur
  • Les mots justes trouvés au bon moment sont de l'action.
  • C'est dans le mot que nous pensons.
    Philosophie de l'esprit, éd. G. Baillière