• Lorsque les livres sont prêtés, ils sont si vexés qu'ils ne reviennent jamais chez vous.
  • Je ne peux plus lire que les livres qui me font travailler. Sur les autres, ma pensée glisse comme sur du marbre. – J'aime à labourer.
  • Toutes les grandes lectures sont une date dans l'existence.
    Cours familiers de littérature
  • La lecture est un voyage de l'esprit, une agréable absence de la vie et de soi-même.
    Le règne des champignons
  • Oh ! les livres - les bons livres - les chers livres - qui vous emportent hors de vous-même et de la vie ! - comme il est plus doux de lire que de vivre !
  • Par la lecture, on s'absente de soi-même et de sa propre vie.
    Plus ça change et plus c’est la même chose (1875)
  • Le monde se divise en deux catégories de gens : ceux qui lisent des livres et ceux qui écoutent ceux qui ont lu des livres. Mieux vaut appartenir à la première catégorie.
    Les Thanatonautes, éd. Albin Michel
  • La lecture n'est profitable qu'aux esprits possédés d'un goût immodéré de la vérité.
  • Quand on a l'honneur d'être malade, et le bonheur d'avoir une maladie qui vous laisse la tête libre... c'est alors, et alors seulement, qu'on est le lecteur idéal.
    Pensées, éd. Gallimard
  • Lire, c'est entrer dans une œuvre, dans la lecture d'une œuvre, dans une vie, dans la contemplation d'une vie, avec amitié, avec fidélité, avec même une sorte de complaisance indispensable, non seulement avec sympathie, mais avec amour.
    Clio, éd. Gallimard
  • La plus noble façon de disparaître est la lecture. C'est aussi l'acte d'amour parfait : une âme touche une âme directement.
  • Je trouve mes lectures dans la lumière du ciel. C'est le livre le plus profond qui soit et ce n'est même pas moi qui en tourne les pages.
  • Qui est maître de ses lectures ? Un livre nous choisit. Il frappe à notre porte. La charité, Monsieur. La charité de me donner tout votre temps, tous vos soucis, toutes vos puissances de rêverie
  • Vous ouvrez le livre un vendredi soir, vous atteignez la dernière page un dimanche dans la nuit. Après, il faut sortir, retourner dans le monde. C'est difficile. C'est difficile d'aller de l'inutile, la lecture, à l'utile, le mensonge.
  • Peu de livres changent une vie. Quand ils la changent c'est pour toujours, des portes s'ouvrent que l'on ne soupçonnait pas, on entre et on ne reviendra plus en arrière.
    La plus que vive, éd Gallimard
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