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L'humanité se prend beaucoup trop au sérieux ; c'est le péché originel du monde. Si les hommes des cavernes avaient su rire, l'Histoire serait bien différente.
L'humanité se prend beaucoup trop au sérieux ; c'est le péché originel du monde. Si les hommes des cavernes avaient su rire, l'Histoire serait bien différente.Le Portrait de Dorian Gray, éd. Penguin
Je veux vivre dans un monde où les êtres seront seulement humains, sans autre titre que celui-ci, sans être obsédés par une règle, un mot, une étiquette.J'avoue que j'ai vécu
Pour aimer l'humanité, il faut la voir de loin.
Vous êtes à la fois un cœur qui bat et un battement de cœur dans ce corps qu'est l'humanité.
Jamais l'humanité n'a uni tant de puissance à tant de désarroi, tant de connaissances et tant d'incertitudes.
Nous sommes passés d'une humanité primitive qui considérait qu'elle appartenait à la vie, à une humanité dite « évolué » qui considère que la vie lui appartient. Nous nous sommes érigés comme les propriétaires de la création. C'est la raison pour laquelle nous n'avons plus aucun respect pour rien.
L'homme-individu est essentiellement famille, tribu, nation. Tandis que l'humanité, elle, n'a pas encore trouvé autour de soi d'autres Humanités pour se pencher sur elle et lui expliquer où elle va.
Aussi longtemps que l'on puisse regarder en avant, la vie de l'humanité sera difficile, sera chargée de conflits. Je crois que les valeurs auxquelles je suis profondément attaché, comme les valeurs de liberté, sont toujours précaires, toujours menacées.Un certain regard, 7 décembre 1969 (archive INA)
La question du sort de l'espèce humaine me semble se poser ainsi : le progrès de la civilisation saura-t-il, et dans quelle mesure, dominer les perturbations apportées à la vie en commun par les pulsions humaines d'agression et d'autodestruction ?Malaise dans la civilisation
L'humanité préfère à la vie des raisons de vivre.
L'humanité est une suite discontinue d'hommes libres qu'isole irrémédiablement leur subjectivité.
Parmi les êtres humains, on ne reconnaît pleinement l'existence que de ceux qu'on aime.La Pesanteur et la Grâce, Ed. Plon
Je suis [...] un citoyen du monde.
Je fais partie de la race humaine et pourtant je dis : qu'importe si l'homme disparaît du globe. Il l'aura bien mérité ! Sa folie actuelle est telle, tant de stupidités et d'imprudence ! Il existera toujours des relais dans la nature. Dans l'évolution biologique, si une branche disparaît, elle est relayée par une autre. La nature et les animaux existaient avant nous sans avoir à supporter notre rapacité. Et l'évolution peut dessiner un cercle, lequel se refermera sur les origines neuves, c'est à dire préhistoriques.
Il serait urgent que les hommes décident de s'aimer pour de bon.