• La femme, cette perfection cent défauts.
  • La femme comprend tout, mais feint l'inverse.
  • Rien ne transforme une maison comme la présence d'une femme charmante.
    À l'œuvre et à l'épreuve (1891)
  • Les femmes veulent des hommes médiocres et les hommes s'efforcent de l'être le plus possible.
  • Accepter les rythmes de la vie des femmes, c'est accepter la vie elle-même, c'est accepter les impératifs du corps plutôt que les impératifs d'une civilisation artificielle, faite par l'homme, peut-être transcendantalement belle. Mettre l'accent sur le rythme de travail masculin, c'est mettre l'accent sur les possibilités infinies ; mettre l'accent sur les rythmes féminins, c'est mettre l'accent sur un modèle défini, sur la limitation.
    Male and Female (1949)
  • Les femmes deviennent sexuellement inéligibles bien plus tôt que les hommes. Pour la plupart des femmes, le vieillissement est synonyme d'un processus humiliant de disqualification sexuelle progressive. Les règles de cette société sont cruelles pour les femmes.
    Le Double standard du vieillissement, The saturday Review, 23 septembre 1972.
  • La féminité est comme un poème : elle ne s'arrête pas à ce que vous voyez, mais à ce qu'elle vous laisse imaginer.
  • La vie d'un homme peut être considérablement enrichie par la présence d'une femme intelligente, cultivée, bien élevée.
  • Les femmes n'aiment pas indiquer leur âge parce qu'elles sont trop modestes pour révéler qu'elles sont belles depuis longtemps.
  • Les femmes entretenues ne sont pas forcément les mieux conservées.
  • En admirateur de la femme, je souscris à tous les arguments de sa misogynie.
    Aphorismes, éd. Mille et une nuits
  • Il y a les femmes avec qui on fait l'amour, et celles avec qui l'on en parle.
    Main courante, éd. Grasset
  • J'ai parfois pensé que la nature d'une femme est comme une grande maison pleine de pièces : il y a le hall, par lequel tout le monde passe pour entrer et sortir ; le salon, où l'on reçoit les visites officielles ; la salle de séjour, où les membres de la famille vont et viennent à leur gré ; mais au-delà, bien au-delà, il y d'autres pièces, dont les poignées de portes ne sont peut-être jamais tournées ; personne n'en connaît le chemin, personne ne sait où elles mènent ; et dans la pièce la plus intime, le saint des saints, l'âme est assise seule et attend le pas de quelqu'un qui ne vient jamais.
    La Plénitude de la Vie (1893)
  • J'ai beaucoup de mal à définir ce qu'est un homme, une femme, en dehors du sexe même. Je ne vois pas de caractéristiques communes aux uns ou aux autres. Le féminin ne tient qu'à l'aspect extérieur : une tenue, une coiffure, des talons. Ce n'est qu'une question d'enveloppe. Je n'ai jamais été une adepte du féminisme et n'ai jamais ressenti le besoin de me défendre en tant que femme. Pour moi, un combat qui réduit les gens à un dénominateur commun a quelque chose de caricatural. Je me méfie des catégories. Qu'est-ce qui nous définit ? Notre sexe ? Notre métier ? Notre couleur ? Notre nationalité ? Non. C'est bien plus complexe que ça. La richesse des êtres humains tient à leur dualité, à leurs contradictions. J'aime franchir les lignes, brouiller les rangs, faire se télescoper les extrêmes.
    Entretien avec Fanny Ardant, Nedjma Van Egmond, Le Parisien Magazine, 28 juillet 2017
  • À la femme sans maternité manque plus que la moitié de la féminité.
    Les soleils des Indépendances, éd. Seuil
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