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S'il fallait un jour que les forêts disparaissent, l'homme n'aurait plus que son arbre généalogique pour pleurer.
S'il fallait un jour que les forêts disparaissent, l'homme n'aurait plus que son arbre généalogique pour pleurer.
Nous ne sommes en rien des objets soumis à quelque destin, mais des passagers conscients et mortels, agissant sur cette planète.
La conscience écologique vient d'une menace, non d'une espérance ; elle nous amène à repenser non seulement notre relation à la nature, mais notre histoire et notre civilisation.
Seul le milieu rural permettra renaissance écologique de préservation des ressources, d'économie d'énergie, de qualité des produits et services, de sécurité, d'innovation, de développement soutenable et, plus généralement, de qualité de vie.
Économisez l'eau, prenez votre douche avec une amie.
Si un homme passe la moitié de sa journée à marcher dans les bois parce qu'il les aime, il est en danger d'être pris pour un fainéant mais s'il passe toute sa journée à spéculer, à raser les bois, à rendre la terre chauve avant l'heure, on le considère avec estime comme un citoyen industrieux et entreprenant.
Les sciences nous racontent notre histoire : l'astronomie notre passé et l'écologie notre avenir.
Actuellement, l'homme mène une guerre contre la nature, s'il gagne il est perdu.Conférence, Loos, janvier 2012
En peu de mots, il est de toute urgence de développer une mondialisation de l'écologie capable de s'opposer efficacement aux méfaits et aux pollutions provoqués par la nouvelle mondialisation de l'économie.
Si on laisse la crise écologique se combiner avec toutes les autres crises, toutes les économies vont s'effondrer. […] Le monde de demain va être radicalement différent. Il va l'être de gré, ou de force.
Le monde de la rareté et de la fragilité nous impose de changer progressivement de programme.Conférence de presse - 22/01/2007
On ne naît pas écologiste, on le devient.L'An I de l'ère écologique et dialogue avec Nicolas Hulot, éd. Tallandier
Nous entrons dans une ère où, face aux planifications de l'homme, la nature décidera et mettra des limites.
Nous passons notre temps à oublier, oublier que nous vivons sur planète limitée à laquelle nous appliquons un principe illimité, ce qui accélère le processus d'épuisement des ressources et d'accroissement des inégalités structurelles, source de mécontentements, de frustrations et de conflits.La part du colibri. Ed. de l'Aube
L'espèce humaine est entrée en conflit avec l'espace, la terre, l'air même qu'il lui faut pour vivre. Comment pouvons-nous parler de progrès, alors que nous détruisons encore autour de nous les plus belles et les plus nobles manifestations de la vie ?Les racines du ciel, éd. Gallimard