• Ce qui compte ce n'est pas ce qui arrive, c'est ce qu'on fait de ce qui arrive.
  • Nous devons traverser la vie si discrètement que le destin ne nous remarque pas.
    The Moon and Sixpence
  • La plupart des hommes ont des incidents. Quelques-uns ont des destins.
    Blumroch l'admirable, éd. Gallimard
  • C'est au moment où vous croyez prendre en main les rênes de votre destin que vous risquez d'être écrasé. Agissez prudemment. Comptez avec un certain nombre de surprises. Quand on crée, il y a toujours d'autres forces à l'œuvre.
    La Maison des Mères, éd. Robert Laffont
  • Il est bon de forcer le possible, afin d'atteindre l'impossible.
  • Les choses arrivent à qui est disponible pour les vivre, les entendre et les voir. C'est formidable d'être à la disposition de son destin, sinon que se passe-t-il ? Rien.
  • Le destin nous poursuit comme un dément armé d'un rasoir.
  • Il y a dans la vie deux sortes de destins : ceux qui ouvrent les pistes dans la grande brousse de la vie et ceux qui suivent ces pistes ouvertes.
  • Le destin est une volonté de Dieu que personne ne peut contre-carrer.
    En attendant le vote des bêtes sauvages, éd. Seuil
  • Nous ne choisissons pas nos évasions. Elles nous choisissent.
    Oublier Palerme, éd. Grasset
  • Le destin des êtres humains est fait de rencontres et d'étranges fatalités.
  • Il est des êtres dont c'est le destin de se croiser. Où qu'ils soient. Où qu'ils aillent. Un jour, ils se rencontrent.
  • N'ayons pas peur de parler d'utopie : l'utopie, c'est les hommes qui prennent en main leur destin.
  • L'homme forge son destin de l'intérieur, voilà une affirmation bien téméraire. En revanche l'homme est libre de choisir l'accueil qu'il fera en lui-même de son destin. On ne connait pas la vie de quelqu'un si l'on n'en sait que les événements extérieurs. Pour connaître la vie de quelqu'un, il faut connaître ses rêves, ses rapports avec ses parents, ses états d'âme, ses désillusions, sa maladie et sa mort.
    Une vie bouleversée (suivi de Lettres de Westerbock), éd. Seuil
  • Je savais que le destin est un vieillard. Il marche à tous petits pas. Il s’arrête pour souffler. Il repart. Il s’arrête encore. Il atteint son but à son heure.
    Moi, Tituba sorcière, éd. Gallimard

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