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Il existe pour tout être un être complémentaire.
Il existe pour tout être un être complémentaire.Les jumeaux du diable
Les véritables aventures se vivent toujours à deux. Pour rire, il faut être au moins deux. Pour s'aimer et se trahir il faut aussi être deux.
Un couple est toujours improbable ; il est toujours possible.Ce que je crois, éd. Grasset
Un couple une fois formé, rien ne lui garantit un avenir, on se trompe souvent.Ce que je crois, éd. Grasset
Un homme, ce n'est pas assez pour une femme, ou bien c'est trop.Les Destinées sentimentales, éd. Grasset
Pour moi, rien n'est plus beau qu'un couple épanoui. L'homme et la femme qui réussissent ce prodige, créent, ensemble, un troisième être qui dépasse chacun d'entre eux et qui les relie à l'harmonie du monde.
C'est tout un art, la dispute conjugale, un art très ancien et très respectable.Les poissons rouges, éd. Folio
Un homme et une femme qui passent leur vie entière ensemble, qui finissent par ne faire plus qu'une seule et même âme, qu'un seul et même être, est l'une des plus belles réussites humaines.
[…] il faut un peu de liberté, un peu d'indépendance pour vivre ensemble, chaque jour de la vie, dans la même maison.
Je ne peux m'empêcher de considérer tous les hommes qui restent plus de trois ans avec la même femme comme des lâches ou des menteurs.Windows on the World, éd. Grasset
Désir de vivre à deux et peur du couple : Les amants s'installent de plain-pied dans cette contradiction impossible.Au coin de la rue, l'aventure (en collaboration avec Alain Finkielkraut), éd. Le Seuil
Le couple est la capitalisation des griefs que chacun fait payer à l'autre avec intérêts.Les Voleurs de beauté, éd. Grasset
Quand on s'est connus ma femme et moi, on était tellement timides tous les deux qu'on n'osait pas se regarder, maintenant on ne peut plus se voir.
Le vrai amour ce n'est pas de vivre avec une femme parce qu'on l'aime, mais de l'aimer parce qu'on vit avec elle.Mangeclous, éd. Gallimard
J'avais le privilège de vivre depuis le début, constamment, en toute conscience, ce qu'on finit toujours par découvrir dans la stupeur et le désarroi : l'homme qu'on aime est un étranger.Passion simple, éd. Gallimard