• Il faut parfois toute une existence pour parcourir le chemin qui mène de la peur et l'angoisse au consentement à soi-même. À l'adhésion à la vie.
    Dans la lumière des saisons, éd. P.O.L
  • Quand on ne se connaît pas on ne peut pas vivre correctement, on ne peut pas être heureux.
    La Grande Librairie, France 5, 25 novembre 2020
  • La première personne à surprendre, c'est toi !
    L'année des D(i)ieux, éd. Lamiroy
  • Ce qui importe, c'est de se connaître et de s'accepter ; c'est d'avoir sondé sa puissance, comme s'il s'agissait de celle d'un appareil, c'est de savoir le degré de son attention, les moments du jour où elle est dans son plein, les moments où elle cesse et où elle doit se refaire dans le repos, l'alternance ou la diversion. Cette courbe de notre durée intime devrait nous être présente, comme le sont les renseignements de la météo au pilote transocéanique.
    Le Travail intellectuel
  • La vie intérieure est impénétrable.
    L'obscure souffrance (1919)
  • Qui souvent s'examine n'avance en rien dans la connaissance de lui-même. Et moins on se connaît, mieux on se porte.
  • C'est sur soi-même qu'il faut œuvrer, c'est en soi-même qu'il faut chercher.
  • Chacun est différent. Pour chacun l'objet de foi diffère. Chacun doit savoir, connaître par lui-même, l'objet de sa foi. Vous devez croire en ce qui vous impressionne le plus.
    Questions à un Maître Zen, éd. Albin Michel
  • Tous les chemins mènent à soi.
  • De toutes les menaces qui pèsent sur nous, la plus redoutable, nous le savons, la seule réelle, c'est nous-mêmes.
    Celui par qui le scandale arrive, éd. Hachette
  • D'un œil, observer le monde extérieur, de l'autre regarder au fond de soi-même.
  • Être trop mécontent de soi-même, c'est une faiblesse ; en être trop satisfait, c'est une témérité.
  • Visite ton cœur souterrain, voyage sur les lignes de tes mains, cela vaut bien les chemins du monde.
    Le Tombeau des rois, Institut littéraire de Québec
  • Juste avec le temps, tu apprends à être plus ce que tu veux et moins ce que les autres veulent de toi...
  • Avec le temps, j'ai arrêté de dialoguer avec ceux qui ne m'écoutaient pas et avec ceux qui voulaient toujours avoir raison. J'ai aussi arrêté de chercher les gens qui ne me cherchaient jamais, de penser à ceux qui ne pensaient jamais à moi. J'ai commencé à faire ce qui me fait du bien, sans excès mais avec passion. J'ai commencé à faire confiance à mon intuition pour tout, pour chaque choix, pour chaque personne. J'ai commencé à éviter les gens négatifs et j'ai commencé à fréquenter les rares personnes positives. Parce que j'ai appris à me respecter et j'ai commencé à me mettre en premier. Parce que je pense que je le mérite.