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Le bonheur n'est pas une plante sauvage, qui vient spontanément, comme les mauvaises herbes des jardins : c'est un fruit délicieux, qu'on ne rend tel, qu'à force de culture.
Le bonheur n'est pas une plante sauvage, qui vient spontanément, comme les mauvaises herbes des jardins : c'est un fruit délicieux, qu'on ne rend tel, qu'à force de culture.
Le bonheur ne se décrète pas, ne se convoque pas, mais se cultive et se construit peu à peu dans la durée. Le bonheur est une manière d'être, or les manières s'apprennent.
[...] seul le bonheur est sans mystère, car il se justifie par lui-même.
Le bonheur est possible et il vaut mieux aller à sa rencontre qu'en écouter le récit.
La compassion est un très bon outil pour faire mûrir nos capacités au bonheur et nous conduire à ce que j'appelle un "bonheur lucide " ou "mature".
Le bonheur est le moteur pour garder le goût de la vie, et la consolation est la réparation de toutes nos blessures.
Le bonheur, c'est du bien-être dont on prend conscience.
Jamais les jaloux ne savourent leur bonheur : ils ne font que le surveiller.
Il faut accepter une fois pour toutes l'idée que nous sommes des intermittents du bonheur, de la joie, de l'amour, et que c'est absolument normal. C'est pourquoi il faut s'attacher à les faire renaître régulièrement dans nos vies.
Le bonheur est une construction qui se nourrit d’actions et de décisions.
Plus une société ou un individu est matérialiste, plus il s'éloigne du bonheur.
Se réjouir du bonheur des autres est une bonne chose ; cela montre que nous avons compris deux phénomènes importants. Le premier est que l'envie et la jalousie sont des souffrances inutiles. Le second est que le bonheur des autres est toujours une bonne nouvelle pour nous ; il ne nous retire rien et embellit le monde.
Sur les flots, sur les grands chemins, nous poursuivons le bonheur. Mais il est ici le bonheur.
Si l'homme calculait son existence par le bonheur et comptait ses heures de joie pour des années de vie, compterait-il jusqu'à soixante ?
Le souvenir du bonheur n'est plus du bonheur ; le souvenir de la douleur est de la douleur encore.Marino Faliero, Doge de Venise (1820)