• Le seul moyen d'obliger les hommes à dire du bien de vous, c'est d'en faire.
  • J'ai fait un peu de bien, c'est mon meilleur ouvrage.
  • Ce n'est pas la violence, mais le bien qui supprime le mal.
  • L'homme n'est jamais si proche des dieux que lorsqu'il fait du bien à son prochain.
  • L'idée fondamentale du bien est donc qu'il consiste à préserver le vie, à la favoriser, à vouloir la porter à sa plus haute valeur, et que le mal consiste à anéantir la vie, la léser, l'entraver dans son épanouissement.
    Communication à l'Académie des Sciences Morales et Politiques, 20 octobre 1952
  • Nous sommes nous-mêmes responsables de nos maux. Nous sommes les héritiers du passé et les maîtres du futur. Il n'y a pas de "bien" et de "mal" en soi, il y a des actes et des pensées qui conduisent à la souffrance, et d'autres au bonheur.
    Pensée de la semaine, newsletter du 28 octobre 2024
  • Le bien que l'on a semé dans la prospérité, une fois mûri se retrouve aux jours d'adversité.
    Sentences
  • Le mal ne peut se dire que du point de vue particulier d'un mode existant : il n'y a pas de Bien ni de Mal dans la Nature en général, mais il y a du bon et du mauvais, de l'utile et du nuisible pour chaque mode existant.
  • Le bien ce n'est pas forcément ce qui vous fait du bien, mais en tout cas, ça ne peut pas vous faire du mal.
  • Je suis perpétuellement consumé par un profond, un inextinguible amour de l'humanité, un profond désir de faire le bien, de défendre les faibles, de réaliser des choses prodigieuses.
    Un singulier regard - écrits autobiographiques
  • L'ambition de faire le bien est la seule qui compte.
    La route du succès (1922)
  • Rien ne passe aussi inaperçu que le Bien, puisque le Bien véritable ne dit pas son nom - s'il le dit, il cesse d'être le Bien, il devient de la propagande.
  • Le bien permanent doit couler par le canal des lois.
  • Quiconque est parvenu à discerner le bien et le mal a déjà perdu son innocence, car le propre de l’innocence est de ne pas connaître le mal.
  • Mieux vaut bien faire le mal que mal faire le bien.
    Les métamorphoses, II