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Il faut que l’amour soit un enthousiasme, une puissance illimitée, une douceur surhumaine, une soif de déborder et d’écoute, la possibilité de coïncider avec soi, une ambition et une naissance - pas un sentiment.
Il faut que l’amour soit un enthousiasme, une puissance illimitée, une douceur surhumaine, une soif de déborder et d’écoute, la possibilité de coïncider avec soi, une ambition et une naissance - pas un sentiment.
On devrait toujours aimer pour la première fois.
Ah, qu'il est utopique de vouloir aimer sans souffrir, il n'y à pas d'amour sans lutte avec soi même. Sans abandon de soi même à l'être aimé.
C'est si beau quand l'amour est une pure épopée du cœur. Quand, indiscipliné, il ne de se domestique pas... quand rien ne discrédite la passion.
L'amour n'est pas une respiration d'appoint mais bien la seule respiration.
Être plein du sublime d'une femme change tout. On ne voit plus que la lumière des choses. L'éteint de la vie disparaît.
Un grand amour, c'est la possibilité de désobéir, ensemble, à la bêtise du monde.
L'amour, c'est le physique, c'est l'attrait charnel, c'est le plaisir reçu et donné... Le reste, les hyperboles, les soupirs, les « élans de l'âme », sont des plaisanteries, des propos pour les niais, des rêveries de beaux esprits impuissants. La passion, c'est le feu qui met en nous ce plaisir. Le sentiment, c'est l'attachement à ce plaisir.Amours, éd. Mercure
On croit qu'on sait tout sur l'amour, alors qu'on ne cesse d'apprendre.
On fait l'amour par désir. On le fait par vice. On le fait aussi par amour-propre.
L'amour, sans la jalousie, n'est pas l'amour.
L'amour est souvent une partie où chacun des deux joueurs, tour à tour, croit qu'il va perdre et se hâte de corriger son jeu.
Dans sa première passion, la femme aime son amant ; dans toutes les autres, tout ce qu'elle aime, c'est l'amour.Don Juan (1819-1824)
L'amour d'un homme n'occupe qu'une partie de sa vie d'homme ; l'amour d'une femme occupe toute son existence.
L'amitié peut bien tourner en amour, mais l'amour ne devient jamais de l'amitié.Les maximes et pensées (1788-1824)