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L'amour, c'est l'absolu, c'est l'infini ; la vie, c'est le relatif et le limité. De là tous les secrets et profonds déchirements de l'homme quand l'amour s'introduit dans la vie, elle n'est pas assez grande pour le contenir.
L'amour, c'est l'absolu, c'est l'infini ; la vie, c'est le relatif et le limité. De là tous les secrets et profonds déchirements de l'homme quand l'amour s'introduit dans la vie, elle n'est pas assez grande pour le contenir.
Bénie soit la Providence qui a donné à chacun un joujou : la poupée à l'enfant, l'enfant à la femme, la femme à l'homme, et l'homme au diable.
Le rêve du héros, c'est d'être grand partout et petit chez son père.
C'est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain n'écoute pas.
Le travail ne peut être une loi sans être un droit.
L'amour est une mer dont la femme est la rive.Le Groupe des idylles - La Légende des siècles
Une minute peut blesser un siècle.
Oh ! N'insultez jamais une femme qui tombe ! Qui sait sous quel fardeau la pauvre âme succombe !Les Chants du crépuscule
Aimer, c'est la moitié de croire.Les Chants du crépuscule
Oh ! l'amour d'une mère ! amour que nul n'oublie ! Pain merveilleux qu'un dieu partage et multiplie !Les Feuilles d'automne
Chaque élément retourne où tout doit redescendre. L'air reprend la fumée, et la terre la cendre. L'oubli reprend son nom.
Le premier symptôme de l'amour vrai chez un jeune homme, c'est la timidité, chez une jeune fille, c'est la hardiesse.
Le propre de la solidarité, c'est de ne point admettre d'exclusion.
La guerre, c'est la guerre des hommes, la paix, c'est la guerre des idées.
La lumière est dans le livre. Ouvrez le livre tout grand. Laissez-le rayonner, laissez-le faire. Qui que vous soyez qui voulez cultiver, vivifier, édifier, attendrir, apaiser, mettez des livres partout.Discours d'ouverture du Congrès littéraire international de 1878