Pearl Buck (26 juin 1892 - 6 mars 1973) est une femme de lettres américaine. Fille de missionnaires presbytériens, elle grandit et vécut de nombreuses années en Chine, développant une compréhension profonde de la culture chinoise. En 1931, elle publie La Terre chinoise (The Good Earth), roman qui lui vaut un immense succès et le prix Pulitzer en 1932. Ce livre décrit la vie paysanne chinoise avec réalisme et empathie. En 1938, elle devient la première femme américaine à recevoir le prix Nobel de littérature, récompensant l'ensemble de son œuvre romanesque. Écrivaine prolifique, elle a publié plus de 70 ouvrages. Militante engagée, elle défend les droits des femmes et des minorités.
  • Nul ne peut retenir le temps, mais, pour l'amour, il s'arrête parfois.
  • Le secret de la joie dans le travail est contenu dans un mot - excellence.
  • Celui qui essaie de vivre seul ne s'accomplira pas en tant qu'être humain. Son cœur se dessèche s'il ne répond pas à un autre cœur. Son esprit se ratatine s'il n'entend que les échos de ses propres pensées sans trouver aucune autre source d'inspiration.
  • Quant à la ville de New York, c'est un lieu à part. Il n'y a pas d'équivalent dans aucun autre pays du monde.
  • Lorsqu'une femme s'est faufilée dans le cœur d'un homme, les yeux de cet homme sont tournés en dedans et ne voient qu'elle, en sorte qu'il est aveugle à tout le reste pendant un temps.
    Vent d'Est, vent d'Ouest
  • La vraie sagesse de la vie consiste à voir l'extraordinaire dans l'ordinaire.
  • Savoir lire c'est allumer une lampe dans l'esprit, relâcher l'âme de sa prison, ouvrir une porte sur l'univers.
    Pavillon de femmes, éd. Stock
  • La capacité d'aimer c'est le secret de la vie. Tant que l'on peut aimer, aimer véritablement, un autre humain, la mort attend son heure. C'est seulement quand la capacité d'aimer cesse que la mort se rapproche.