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Le mariage est la disette de toutes les affections, la famine du cœur.
Le mariage est la disette de toutes les affections, la famine du cœur.
Si j'avais assisté au conseil du Créateur lorsqu'il forma la nature humaine, je lui aurais conseillé de mettre les rides sous le talon.
L'amour est l'aliment du cœur, comme les mets le sont du corps.Lettres au marquis de Sévigné (1750)
La beauté sans grâce est un hameçon sans appâts.
La vie passe à la vitesse du vent, ne sacrifiez point le jour au lendemain, ni le présent à l'avenir.
La vie est courte, et le temps a des ailes, il emporte avec lui nos joies et nos plaisirs.
Entre l'amour et l'amitié, mon cœur ne balance jamais.
Faire l'amour est un plaisir, un appétit, un besoin, un amusement, et non pas un devoir.Lettre au marquis de Sévigné
Ce n'est point par les soupçons qu'on affermit la fidélité d'une maîtresse ; ils ne peuvent, au contraire, que l'affaiblir, car c'est la familiariser avec des sentiments dont la seule idée doit lui sembler un crime. En paraissant craindre son inconstance, vous l'accoutumez à la regarder comme possible, à se la reprocher moins ; et vous l'avertissez de se faire un mérite de ce qui ne doit être qu'un devoir.Lettre au marquis de Sévigné (1750)
Quand on s'aime véritablement, on s'éloigne du mariage comme d'un abîme.
Il est plus difficile de bien faire l'amour que de commander des armées.Lettre au Duc d'Enghien
Les regards sont les premiers billets doux des amants.
Les serments sont la fausse monnaie avec laquelle on paie les sacrifices de l'amour.Lettre au marquis de Sévigné (1750)
Jamais une femme ne vous sait mauvais gré de plaire à plusieurs, pourvu qu'elle soit toujours préférée : ce sont autant de triomphes de plus.Lettre au marquis de Sévigné (1750)
Abandonnez aux céladons les propos sublimes et les beaux sentiments : laissez-leur filer le parfait amour. Je vous le dis de la part des femmes : il est des instants où elles aiment mieux être un peu brusquées que trop ménagées ; les hommes manquent plus de cœurs par leur maladresse, que la vertu n'en sauve.Lettres au marquis de Sévigné (1750)