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Dans la sphère morale, le risque est grand de faire un usage privé et fantaisiste de l'idée de Dieu. Lorsqu'on lui attribue le rôle de confident privé et de consolateur suprême, le tête-à-tête avec Dieu risque de remplacer le dialogue avec autrui et le face-à-face avec le réel. Enfin, le sentiment d'enthousiasme que fournit l'idée de Dieu peut se muer en sectarisme.