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Je suis le contraire de la mode. J'ai été démodé très tôt.
Je suis le contraire de la mode. J'ai été démodé très tôt.
Dire ce qu'on pense, c'est prendre le risque de fâcher la moitié des téléspectateurs.
J'ai compris que le vedettariat, c'est bidon. Vous mettez une vache à la télé, c'est la vache la plus célèbre. La plus grande vedette de la télé, c'est la télé; quand on oublie ça, on disjoncte
Mon père ne voulait que des numéros un, un grand musicien, un intellectuel, un médecin; moi, j'étais totalement déconnecté de la réalité scolaire.
La discrimination à l'embauche est souvent une discrimination physique.
Le public ne sait pas que derrière les paillettes et le maquillage se cachent parfois des batteries d'anxiolytiques, des hospitalisations discrètes, des ulcères et des crises, des errances… des malaises cardiaques avant cinquante ans.
Les liens se forment sur une première impression qui s'appelle l'image.
Quand on fait d'une passion un métier, on n'a pas envie que cela s'arrête.
Je voudrais juste dire que le talent n'excuse pas tout, et que dans "monstres sacrés", il y a "monstres".
La fatigue de la passion n'est pas la même que celle de l'ennui, la première est votre ange gardien et la seconde une plaie.
Aujourd'hui la loi des apparences régit aussi la vie de tous les jours dans tous les métiers.
La télé voyeuse, celle qui lorgne par le trou de la serrure, celle qui fait son beurre de la détresse morale, de la misère sexuelle, celle qui filme les désœuvrés de la télé-réalité comme des rats de laboratoire, ne sera jamais la mienne.
Qu'on le veuille ou non, la télévision est le métier du paraître.
La télévision est devenue une industrie où tout est jetable : les émissions comme ceux qui les présentent.
À ce diktat de la beauté télégénique s'ajoute un autre paramètre : le charisme.