• Si quelque chose devait me manquer, ce ne serait plus le vin, ce serait l'ivresse.
    Audiard par Audiard, éd. La mémoire du cinéma français/René Chateau
  • Y suffit de mettre un gigot au four pour voir s'amener les emmerdeurs !
    Extrait du film "Le cave se rebiffe" (1961)
  • L'alcool ne procure pas la gaieté mais la cirrhose.
    Audiard par Audiard, éd. La mémoire du cinéma français/René Chateau
  • En matière de monnaie les états ont tous les droits et les particuliers aucun !
    Extrait du film "Le cave se rebiffe" (1961)
  • Finalement, il n'y a qu'une chose qui compte dans le monde : Aimer.
    Audiard par Audiard, éd. La mémoire du cinéma français/René Chateau
  • Quand on est cintré comme toi, on porte un écriteau, on prévient.
    Extrait du film "Un taxi pour Tobrouk" (1960)
  • Dans chaque cambrioleur, il y a un préfet de police qui sommeille !
    Extrait du film "Le président" (1960)
  • Les vieillards c'est comme les bébés, ça change très vite.
    Extrait du film "Le président" (1961)
  • Un marchand de tableaux est un voleur inscrit au registre du commerce.
    Extrait du film "Le Guignolo" (1980)
  • Rouler des mécaniques, c'est une maladie des hommes.
    Extrait du fil "Fleur d'oseille" (1967)
  • J'parle pas aux cons, ça les instruit.
    Audiard par Audiard, éd. La mémoire du cinéma français/René Chateau
  • L'amour, c'est quand on est très bien avec quelqu'un, c'est avoir besoin de sa présence.
    Audiard par Audiard, éd. La mémoire du cinéma français/René Chateau
  • Parle à mon colt, ma tête est malade.
    Extrait du film "Elle cause plus... elle flingue" (1972)
  • À la guerre, on devrait toujours tuer les gens avant de les connaître.
    Extrait du film "Un taxi pour Tobrouk" (1960)
  • Un amant exceptionnel ne peut faire qu'un mauvais mari.
    Extrait du film "La chasse à l'homme" (1964)