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La connaissance de l'Homme ne peut s'étendre au-delà de son expérience propre.
La connaissance de l'Homme ne peut s'étendre au-delà de son expérience propre.Essai philosophique concernant l'entendement humain (préface)
Il est certain que la fin d'une loi n'est pas d'abolir ou de restreindre la liberté mais de la préserver et de l'augmenter.Second traité du gouvernement civil
Lorsque nous voyons, que nous entendons, que nous flairons, que nous goûtons, que nous sentons, que nous méditons, ou que nous voulons quelque chose, nous le connaissons à mesure que nous le faisons.
Le secret, c'est de garder en toi une pensée agréable. C'est le secret de beaucoup de réussites, d'ailleurs.
L'État, selon mes idées, est une société d'hommes instituée dans la seule vue de l'établissement, de la conservation et de l'avancement de leurs intérêts civils. J'appelle intérêts civils, la vie, la liberté, la santé du corps ; la possession des biens extérieurs, tels que sont l'argent, les terres, les maisons, les meubles, et autres choses de cette nature.Lettre sur la tolérance
Il n'est pas toujours nécessaire de faire des lois, mais il l'est toujours de faire exécuter celles qui ont été faites.
La mémoire, c'est le pouvoir de réveiller dans l'esprit les idées simples.
La mémoire est le magasin de nos idées.
La nécessité de rechercher le véritable bonheur est le fondement de notre liberté.Lettre sur la tolérance
La liberté naturelle de l'homme, consiste à ne reconnaître aucun pouvoir souverain sur la terre, et de n'être point assujetti à la volonté ou à l'autorité législative de qui que ce soit.
Bien que la terre et toutes les créatures inférieures appartiennent en commun à tous les hommes, chaque homme est cependant propriétaire de sa propre personne. Aucun autre que lui-même ne possède un droit sur elle, le travail de son corps et l'ouvrage de ses mains lui appartiennent en propre. Il mêle son travail à tout ce qu'il fait sortir de l'état dans lequel la nature l'a laissée, et y joint quelque chose qui est sien. Par là, il en fait sa propriété. Cette chose étant extraite par lui de l'étant commun où la nature l'avait mise, son travail lui ajoute quelque chose, qui exclut le droit commun des autres hommes.
La connaissance de l'homme ne saurait s'étendre au-delà de sa propre expérience.
Ce qu'on nomme idée est l'objet de la pensée.
Le peuple est le juge suprême de la façon dont les gouvernants remplissent leur mission puisqu'il est la personne qui leur a donné le pouvoir et qui garde à ce titre, la faculté de les révoquer.
L'expérience : c'est là le fondement de toutes nos connaissances.L'Essai philosophique concernant l'entendement humain (1690)