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Quand j'étais jeune, je plaignais les vieux. Maintenant que je suis vieux, ce sont les jeunes que je plains.
Quand j'étais jeune, je plaignais les vieux. Maintenant que je suis vieux, ce sont les jeunes que je plains.
La morale, c'est ce qui reste de la peur quand on l'a oubliée.Pensées d'un biologiste, éd. Stock
Passé l'enfance, on devrait savoir, une fois pour toute, que rien n'est sérieux.
La beauté, en art, n'est souvent que de la laideur matée.
La radio n'a pas rendu les hommes plus sots. Mais la bêtise est plus sonore.
Un seul remède, si l'on en peut user : aimer plus fort qu'on ne souffre.
La biologie nous surprend un peu lorsqu'elle nous apprend que, statistiquement, les femmes les plus belles ne sont pas les plus sottes.
La grande faiblesse des régimes de liberté, c'est que chacun y est libre de clamer qu'on ne l'est pas.
Je n'ai pas de vérités, je n'ai que des convictions.
Littérature : proclamer devant tous ce qu'on a soin de cacher à son entourage.
On est mal fait pour le mariage quand on n'a l'étoffe ni d'un despote ni d'un esclave.
Le beau est ce qui traverse impunément la sottise des âges.
L'homme est devenu trop puissant pour se permettre de jouer avec le mal. L'excès de sa force le condamne à la vertu.
L'orgueil est aussi fréquemment hypocrite que la modestie.
Il ne faut pas oublier que le premier devoir, dans le mariage, est de se faire pardonner d'être là.