• Tout le monde a besoin d'un lieu où revenir.
  • Sans amour, le monde n'est qu'un souffle de vent qui passe devant tes fenêtres.
  • En voyage, on a besoin d'un compagnon et dans la vie, de compassion.
  • Quand on a perdu quelque chose une fois, même si elle disparaît entièrement, on continue éternellement à la perdre.
    La Fin des temps, éd. du Seuil
  • Quand on plonge au plus profond d'un être, et c'est valable pour n'importe qui, on trouve forcément une lumière qui brille.
    Le Meurtre du commandeur, éd. 10-18
  • Il y a des hommes qui brillent intensément, d'autres qui émettent de toutes petites lueurs.
  • On a toujours plus de questions que de réponses. Comme une balance déséquilibrée.
  • C'est simple : tout ce qui a une forme finit par disparaître, mais certaines pensées laissent des traces éternelles.
    Au sud de la frontière, à l'ouest du soleil, éd. Belfond
  • L'imagination, c'est libre comme l'oiseau, et vaste comme la mer, personne ne peut l'arrêter.
  • L'atmosphère de la bibliothèque déserte, tôt le matin, me comble de bonheur. À l'idée de tous les mots, de tous les mondes imaginaires qui reposent paisiblement dans ces pièces, je déborde du désir de préserver la beauté et l'harmonie du lieu.
    Kafka sur le rivage, éd. Belfond
  • Parfois, le destin ressemble à une tempête de sable qui se déplace sans cesse. Tu modifies ton allure pour lui échapper. Mais la tempête modifie aussi la sienne. Tu changes à nouveau le rythme de ta marche, et la tempête change son rythme elle aussi. C'est sans fin...
    Kafka sur le rivage, éd. Belfond
  • Si je reste un certain temps sans contempler de l'eau, j'ai l'impression que peu à peu, au fond de moi, quelque chose se perd lentement.
    Autoportrait de l'auteur en coureur de fond, éd. Belfond
  • Tu continues à avancer pour traverser le temps. Mais tu auras beau aller jusqu’au bord du monde, tu ne lui échapperas pas.
    Kafka sur le rivage, éd. Belfond
  • Le monde change tous les jours… L'heure venue, la nuit s'achève et le jour se lève. Et le monde que tu vois n’est plus le même que la veille.
    Kafka sur le rivage, éd. Belfond
  • Les blessures émotionnelles représentent le prix à payer pour être soi-même.