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Je ne veux pas de béni-oui-oui autour de moi. Je veux que chacun de mes collaborateurs me dise franchement ce qu'il pense... même si je dois le foutre à la porte.
Je ne veux pas de béni-oui-oui autour de moi. Je veux que chacun de mes collaborateurs me dise franchement ce qu'il pense... même si je dois le foutre à la porte.
Tout le monde peut faire des erreurs et les imputer à autrui, c'est faire de la politique.
Il y a deux organes inutiles, la prostate et la Présidence de la République.
On reconnaît un discours de Jaurès parce que tous les verbes sont au futur.
Les dictatures sont comme le supplice du pal : elles commencent bien, mais elles finissent mal.
Ce qui m'intéresse, c'est la vie des hommes qui ont échoué car c'est le signe qu'ils ont essayé de se surpasser.
Il y a beaucoup à dire contre la charité. Le reproche le plus grave qu'on puisse lui faire, c'est de n'être pas pratiquée.
Toute tolérance devient à la longue un droit acquis.Au soir de la pensée, éd. Plon
Un traître est celui qui quitte son parti pour s'inscrire à un autre ; un converti, celui qui quitte cet autre pour s'inscrire au vôtre.
Il n'y a pas de repos pour les peuples libres ; le repos, c'est une idée monarchique.
Nous ne faisons qu'une imprudence dans notre vie mais elle est de taille : c'est de naître.
L'honneur c'est comme la virginité, ça ne sert qu'une fois.
Un escalier de ministère est un endroit où des gens qui arrivent en retard, croisent des gens qui partent en avance.
La France est un pays extrêmement fertile : on y plante des fonctionnaires et il y pousse des impôts.
Je dirai que les fonctionnaires sont un peu comme les livres d'une bibliothèque : ce sont les plus hauts placés qui servent le moins.