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La plus grande des forces, c'est la naïveté.
La plus grande des forces, c'est la naïveté.
L'amour est le contact de deux poésies, la fusion de deux rêveries.La poétique de la rêverie, éd. PUF
Le mot âme est un mot immortel.
Dans certains poèmes, il est ineffaçable.
C'est un mot du souffle.Poétique du souffle
Allez au fond de l'inconscient ; retrouvez avec le poète, le rêve primitif et vous verrez clairement la vérité : elle est rouge la petite fleur bleue !La Psychanalyse du feu, éd. Gallimard
Rien ne va de soi. Rien n'est donné. Tout se construit.La Formation de l'esprit scientifique, éd. Vrin
Le langage est aux postes de commande de l'imagination.La Terre et les rêveries de la volonté, éd. Corti
Il faut mettre la société au service de l'école et non l'école au service de la société.
Dans l'oeuvre de la science seulement on peut aimer ce qu'on détruit, on peut continuer le passé en le niant, on peut vénérer son maître en le contredisant.La Formation de l'esprit scientifique, éd. Vrin
L'homme en tant qu'homme ne peut vivre horizontalement. Son repos, son sommeil est le plus souvent une chute.L'Air et les Songes : Essai sur l'imagination du mouvement, éd. José Corti
La pensée scientifique moderne réclame qu'on résiste à la première réflexion. C'est donc tout l'usage du cerveau qui est mis en question.
Le poète est celui qui a le pouvoir de déclencher le réveil de l'émotion poétique dans l'âme du lecteur.
Se moquer de soi-même, c'est avancer.La psychanalyse du feu, éd. Gallimard
L'amertume de la vie, c'est le regret de ne pouvoir espérer, de ne plus entendre les rythmes qui nous sollicitent à jouer notre partie dans la symphonie du devenir.L'intuition de l'instant, éd. Stock
L'âme rêvante sait que cette vie est un long sommeil, une mort alanguie, lente.
L'être humain est toujours animé du besoin de paraître grand.