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Les néandertaliens et homo sapiens arrivés en Europe étaient des migrants et se sont mélangés pour faire de nous des métis originels.
Les néandertaliens et homo sapiens arrivés en Europe étaient des migrants et se sont mélangés pour faire de nous des métis originels.
L'espérance du possible s'enfante sur fond d'impossible.
Évitons dès le temps de paix l'hystérie de guerre qui transforme l'adversaire en ennemi, celui ci en ignoble porteur du Mal, et nous mêmes en chevaliers du Bien.
On ne peut parler de l'être humain, sans le considérer à la fois comme un être biologique, culturel, psychologique et social.
Il faut parfois faire marche arrière pour aller de l'avant.
La vraie connaissance ne peut qu'accroitre le mystère du monde.
Le mariage et le célibat sont deux choses merveilleuses, mais incompatibles.
Il y a deux erreurs sur l'erreur, l'une de la surestimer, l'autre de la sous-estimer.
Il faudrait nous interroger sur ce que la musique nous dit, non seulement de nous mêmes, mais aussi du cosmos....
Quand il n'y a plus de grande idée, quand il n'y a plus le sentiment d'une grande Mission, il n'y a alors que des ambitions mesquines et des coups bas.
La conscience n'est pas la lumière qui éclaire l'esprit et le monde, mais c'est la lueur ou le flash qui éclaire la brèche, l'incertitude, l'horizon.Le paradigme perdu, éd. Seuil
La vie n'est supportable que si l'on y introduit non pas de l'utopie mais de la poésie, c'est-à -dire de l'intensité, de la fête, de la joie, de la communion, du bonheur et de l'amour.Vers l'abîme, éd. L'Herne
La prose de la vie est ce que nous faisons par contrainte, obligation ou ennui, la poésie de la vie est ce qui nous donne ferveur, élan, joie, communion. C'est pourquoi je dis que les aspirations poétiques de l'être humain sont en général incomprises ou sous estimées.
Les besoins poétiques de l'être humain ne sont perçus que de façon morcelée (esthétique, amours, jeux, etc..) et demeurent ignorés comme besoins fondamentaux.
Dès qu'on expose, on s'expose.