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Comme je ne suis plus maître de mon temps, le temps est désormais mon maître.
Comme je ne suis plus maître de mon temps, le temps est désormais mon maître.
Si nous savions comprendre avant de condamner, nous serions sur la voie de l'humanisation des relations humaines.
Ma raison m'enseigne à comprendre qu'elle ne peut tout comprendre.
Vivre est tout à fait irrationnel mais l'organisme vivant est organisé de façon tout à fait rationnelle.
Le sens de l'amour et le sens de la vie, c'est le sens de la qualité suprême de la vie. Amour et poésie, quand ils sont conçus comme fins et moyens du vivre, donnent plénitude de sens au « vivre pour vivre ».Amour, poésie, sagesse
L'humanisme ne saurait plus être porteur de l'orgueilleuse volonté de dominer l'Univers. Il devient essentiellement celui de la solidarité entre humains, laquelle implique une relation ombilicale avec la nature et le cosmos.
J'aime parler des deux pôles de la vie : la prose et la poésie. La prose, ce sont les choses qu'on fait sans plaisir, par nécessité, parfois pour survivre. La poésie, c'est tout ce qui nous dilate, nous inonde.
Je croie que nos vies devraient être un cocktail de raison et de passion.
La vie nous a possédés alors que nous croyons l'avoir possédée.
Le bon sens va souvent à contre-sens de l'idée reçue et de l'opinion.
Chacun contient en lui des galaxies de rêves, des élans inassouvis de désirs et d'amours.
La mort n'a rien de mystérieux, c'est la désintégration qui tôt ou tard affecte tout organisation physique et surtout vivante. Par contre le pourquoi de la vie est le véritable inconnu ou inconnaissable.
Nous sommes toujours dans le commencement d'un univers qui meurt depuis sa naissance.
Le principe de précaution n'a de sens qu'associé à un principe de risque indispensable à l'action et l'innovation.
Plus l'homme a voulu posséder le monde, plus il s'est dépossédé de lui-même.