Dominique Blondeau (31 décembre 1942 - 5 mars 2023) est écrivaine, nouvelliste et critique littéraire québécoise.
  • L'homme idéal à la recherche de la femme idéale : le meilleur moyen de rester célibataire.
    Les visages de l'enfance, éd. L'Actuelle
  • L'adolescence n'est-elle pas une merveilleuse crise de folie qu'il ne faut pas laisser passer sans trancher dans le vif de ses sensations.
    Que mon désir soit ta demeure, éd. La Presse
  • Il est tellement difficile de vivre avec l'être de son choix. Le temps use nos sentiments les plus aigus.
    Les visages de l'enfance, éd. L'Actuelle
  • L'amour en un dieu imaginaire varie selon la somme de nos satisfactions et insatisfactions comme un moulin à vent tournique ses ailes quand Dieu le veut.
    Que mon désir soit ta demeure, éd. La Presse
  • L'absence ne renoue pas des liens usés.
    Les Errantes, éd. Québec Amérique
  • La sincérité est la forme la plus parfaite de l'illusion. Quand celle-ci est morte, défaite, il ne reste que la lucidité.
    Demain, c'est l'Orient, éd. Lemeac
  • La simplicité décourage. Elle ne s'acquiert qu'à force de détachement.
    Les Errantes, éd. Québec Amérique
  • Derrière l'attente, il y a tout : la permission gratuite d'évoquer un beau visage ou de dialoguer avec une ombre.
    Les visages de l'enfance, éd. L'Actuelle
  • La féerie est un monde vivant que l'imagination de l'enfant est seule capable de créer à sa démesure ; les fées ont été inventées par les adultes pour tuer la féerie des lieux.
    Que mon désir soit ta demeure, éd. La Presse
  • Dans l'offrande de soi-même, ne peut naître la réciprocité : on donne pour recevoir.
    Demain, c'est l'Orient, éd. Lemeac
  • On peut détruire le souvenir avec des mots, mais non la beauté de ce souvenir.
    Les Errantes, éd. Québec Amérique
  • L'amour ne symbolise pas une vérité absolue entre deux êtres, mais une attirance vers un homme ou vers une femme que l'on choisit.
    Les Errantes, éd. Québec Amérique
  • La pauvreté s'encombre rarement de principes et surtout de contingences.
    Que mon désir soit ta demeure, éd. La Presse
  • Ressasser des souvenirs est un signe de vieillesse.
    Que mon désir soit ta demeure, éd. La Presse
  • Le père n'existe pas : c'est l'homme qui dépend de son enfant mais jamais le contraire.
    Que mon désir soit ta demeure, éd. La Presse