• Se réjouir du bonheur des autres est une bonne chose ; cela montre que nous avons compris deux phénomènes importants. Le premier est que l'envie et la jalousie sont des souffrances inutiles. Le second est que le bonheur des autres est toujours une bonne nouvelle pour nous ; il ne nous retire rien et embellit le monde.
  • Dans la pleine conscience, on renonce à vouloir arrêter ou fuir le flot de nos pensées, et on choisit plutôt de l'observer. En faisant une… sorte de pas de côté : penser et se voir penser. Le zen propose la métaphore de la cascade : on est entre la chute d'eau (le flot de nos pensées) et la paroi du rocher. Légèrement décalé, on s'observe penser ; on n'est plus sous le flot (distance), mais on n'en est pas loin (présence).
  • Permettre à son esprit de respirer, à son intelligence de décider, à son cœur de choisir...
  • Méditer, c'est s'entraîner, par un travail régulier avec son corps et son esprit, à cultiver un rapport apaisé et lucide avec le monde et avec soi.
  • Sourire mobilise 15 muscles, mais faire la gueule en sollicite 40. Reposez-vous : souriez !
  • Quand un ami tombe on l'aide à se relever ; et s'il n'y arrive pas, on s'allonge à ses côtés pour qu'il se sente moins seul.
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