• Si vous tenez à connaître le secret d'un homme, n'essayez pas d'apprendre ce qu'il a atteint, mais plutôt ce à quoi il aspire encore.
    Le Prophète, éd. Pygmalion
  • Il doit y avoir quelque chose d'étrangement sacré dans le sel. Puisqu'il est dans nos larmes et dans la mer.
  • L'amitié est un sentiment incessant de donner de la joie.
    Le Prophète, éd. Pygmalion
  • Nos larmes les plus sacrées ne recherchent jamais nos yeux.
    Le sable et l'écume, éd. Albin-Michel
  • Quand l'âme d'une ville est lasse de son corps, elle s'esquive vers la nature d'où elle est venue pour mourir en paix. J'ai connu des villes avec des âmes disparues.
    Le Prophète, éd. Pygmalion
  • L'art est un pas de la nature vers l'Infini.
    Le sable et l'écume, éd. Albin-Michel
  • La nécessité est la mère des petites inventions. Les grandes choses sont les enfants de l'extase.
    Le Prophète, éd. Pygmalion
  • Si tu révèles ton secret au vent, tu ne dois pas lui reprocher de le révéler à l'arbre.
    Le sable et l'écume, éd. Albin-Michel
  • Les voleurs avec qui j'ai vécu m'ont appris les mathématiques ; je devais compter mes doigts après leur avoir serré la main.
    Le Prophète, éd. Pygmalion
  • Le fanatique est un orateur, sourd comme un pot.
    Le sable et l'écume, éd. Albin-Michel
  • Nul n'est aussi pauvre que celui qui a faim d'expériences. Et nul n'est aussi impuissant que celui qui est désireux de donner, mais ne trouve personne pour recevoir.
    Le Prophète, éd. Pygmalion
  • Point de religion ni de science sans esthétique.
    Le sable et l'écume, éd. Albin-Michel
  • La sagesse sans beauté est comme une maison sans toit.
    Le Prophète, éd. Pygmalion
  • La mort n'est pas plus proche du vieillard que du nouveau-né ; la vie non plus.
    Le sable et l'écume, éd. Albin-Michel
  • Certains hommes considèrent que c'est une insulte si vous ne les considérez pas assez pour les haïr.
    Le Prophète, éd. Pygmalion